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Le Karlag - Sauvé par le Karlag... (VF)

«Je tire très bas mon chapeau au Karlag. S’il n’y avait pas eu le Karlag, ça ferait longtemps que je ne serais plus sur cette terre. Par rapport à Briansk, c’était incomparable.

D’abord, on nous donnait des vêtements… des pantalons, des manteaux, des bottes de feutres, des «valenki». C’est d’ailleurs la première fois de ma vie que j’en portais ! On avait tout ce qu’il fallait, et même du bon pain. Certes, on partait travailler, mais quand on revenait, on avait des matelas, des oreillers, des couvertures, tout était correct dans nos couchettes.»