Європейська пам'ять
про Гулаг

Un exil sans retour
Anatolij pourrait partir vivre en Lituanie, il a non seulement le passeport nécessaire mais aussi un appartement qu’il a reçu en dédommagement de la répression. Pourtant quelque chose le retient à Kortkeros : son épouse sans doute, mais aussi son amour de la forêt qu’il connaît par coeur à force de l’avoir sillonnée avec les enfants du club de sport « Belka ». Anatolij dit qu’il se sent utile ici, il s’est intégré et souhaite poursuivre ses recherches sur l’histoire des répressions et sur les traces des charniers dans cette région.