European Memories
of the Gulag
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La famille Smilingis. Ses parents, Anatolij et sa soeur Rita.Ville de Plunge, 1939
Anatolij Smilingis La famille Smilingis. Ses parents, Anatolij et sa soeur Rita. Plunge, 1940
Anatolij Smilingis Enfants de déplacés spéciaux à l’orphelinat de Kortkeros. Années 1940-1950
Anatolij Smilingis Route en rondins (лежнёвкa) menant à Sobino, années 1940
Anatolij Smilingis Flottage du bois, 1959
Anatolij Smilingis Les déplacées spéciales au flottage du bois, 1959
Anatolij Smilingis Anatolij Smilingis avec un rapace apprivoisé, 1952
Anatolij Smilingis Anatolij Smilingis en expédition, années 1960
Anatolij Smilingis Les jeunes du club de tourisme ‘Belka’, dirigé par A. Smilingis, années 1970
Anatolij Smilingis Plaque commémorative sur la croix érigée par les anciens déportés cimetière du village spécial “Vtoroj Ucastok”, Kortkeros, 2009
Anatolij Smilingis
Anatolij Smilingis La famille Smilingis. Ses parents, Anatolij et sa soeur Rita. Plunge, 1940
Anatolij Smilingis Enfants de déplacés spéciaux à l’orphelinat de Kortkeros. Années 1940-1950
Anatolij Smilingis Route en rondins (лежнёвкa) menant à Sobino, années 1940
Anatolij Smilingis Flottage du bois, 1959
Anatolij Smilingis Les déplacées spéciales au flottage du bois, 1959
Anatolij Smilingis Anatolij Smilingis avec un rapace apprivoisé, 1952
Anatolij Smilingis Anatolij Smilingis en expédition, années 1960
Anatolij Smilingis Les jeunes du club de tourisme ‘Belka’, dirigé par A. Smilingis, années 1970
Anatolij Smilingis Plaque commémorative sur la croix érigée par les anciens déportés cimetière du village spécial “Vtoroj Ucastok”, Kortkeros, 2009
Anatolij Smilingis
Un exil sans retour
Anatolij pourrait partir vivre en Lituanie, il a non seulement le passeport nécessaire mais aussi un appartement qu’il a reçu en dédommagement de la répression. Pourtant quelque chose le retient à Kortkeros : son épouse sans doute, mais aussi son amour de la forêt qu’il connaît par coeur à force de l’avoir sillonnée avec les enfants du club de sport « Belka ». Anatolij dit qu’il se sent utile ici, il s’est intégré et souhaite poursuivre ses recherches sur l’histoire des répressions et sur les traces des charniers dans cette région.